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AU DEFI DE FAIRE BOUGER LES MURS

S10 - 2017

« La question de l’architecte, c’est que veut-on imposer comme vie ? » Christian DEMONCHY

THEORIE

Dans le cadre de cet exercice fictif du projet de fin d’étude, nous avons décidé, de traiter un sujet certes épineux, mais qui semblait à nos yeux galvaniser un questionnement propre à notre future profession d’architecte.

 

Notre démarche à commencé bien en amont de cette exercice, afin de comprendre les enjeux que soulève ce sujet. Aujourd’hui certes l’exercice s’achève peut être aujourd’hui, ce qui n’est pas le cas de ce projet et encore moins de ce sujet. 

CONCEPT

Repenser la vie carcérale passait donc par une requalification dans un premier temps des espaces intimes et ensuite et surtout une réflexion sur les espaces de vie commune. En effet, repenser la vie carcérale demande nécessairement d’admettre que la prison créer de fait une communauté, et que celle-ci nécessite des espaces appropriés. Notre réflexion nous a donc conduit à réaliser que l’espace carcéral ayant le potentiel pour accueillir cette communauté se trouvait être la circulation, puisqu’elle est le lieu de confrontation entre détenus mais aussi avec le gardien, sans pour autant empiéter sur l’espace intime de détenus. 

En poursuivant cette réflexion, 3 typologies  se sont démarquées. Chacune d’elle mettait un avant un travail plus orienté. Pour l’une sur les espaces d’intimité, permettant alors de donner un vrai sens au espaces dédiés à la communauté, pour l’autre des espaces de vie quotidienne, partagés à plusieurs, permettant une réelle et nécessaire interaction avec l’autre. Et enfin une dernière, travaillant sur des espaces de rencontre communs à un plus grand nombre, permettant une pluralité de contact, et des espaces de vie communes distincts des espaces d’intimité. 

© 2017 par Laurine MARTIN. Créé avec Wix.com

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